Idées en vrac au boulot...

Jeudi 31 mai 4 31 /05 /Mai 23:38

Idées en vrac au boulot...

Je ne dirai pas que c’est simple, parce que rien n’est simple justement ! Mais alors rien du tout, vraiment rien. Tout est complexe, compliqué, tout se meurt mais rien ne tue, surtout pas cette soumission en moi, en nous. Cette domination du Maître vénéré… peut-être encore plus difficile, mais ceci n’est rien à côté de l’Amour, avec un grand A !

L’AMOUR…. Est un bouquet de violette !

J’attends mon Maître qui ne vient pas, parce qu’il sent qu’il ne doit pas venir, parce qu’il sent que mes fantasmes sont remplis d’une réalité qui n’existe pas, parce que lui-même est dans la tourmente d’un quotidien qui nous envahi et nous enrichi par là-même.

Mon Maître me demandait encore ce matin ce que je voulais faire des 86 400 secondes de ma journée, sachant que demain, tout peut descendre à 0.Donc comme je fais d’habitude ! Aimer mon Maître plus que tout au monde, le lui dire et le lui montrer à chaque instant… ainsi je n’aurai rien à regretter ! Sûrement pas cela en tous cas ! S’il y a bien une chose dont je suis fière, c’est celle-ci !

Ce que je veux ?

Vivre mes envies et fantasmes de soumission auprès de mon Maître. S’il faut trouver un terrain d’entente pour le vivre pleinement et sereinement, parlons-en.

La confiance : berceau de toute relation. C’est par elle que nous nous abandonnons à l’autre. L’autre : qui est différent et semblable à la fois : dans les envies quand il l’exprime.

J’ai toujours envie de me battre. L’Amour est la chose la plus importante dans ma vie (comme dans beaucoup d’autres vies, je le suppose), et je l’ai toujours fait passer en priorité. L’Amour d’un homme, l’amour d’un Maître. Je n’ai pas encore d’enfants, mais je pressens que cet Amour sera moins fort et qu’il passera après. J’assume ce que j’écris même si cela peut choquer et je ne m’interdis pas de changer d’avis comme je fais très souvent. Il n’y a en effet que les imbéciles qui ne changent pas d’avis… cet adage est tellement vrai. Rester butter sur une idée est très grotesque.

Mon corps est en émoi encore cet après-midi, malgré ma présence au travail. Je voudrais être n’importe où qu’ici ! Je voudrai être sous mon Maître à cet instant.